Les créateurs
Qui ?
Andore, qui ? Aélie, ancienne Directrice Artistique dans des agences de communication luxe qui nous partage depuis 2017 sa vision de la mode, son quotidien mais aussi ses engagements et valeurs avec son compte Instagram @thedarcydaily
Pourquoi ?
Andore, pourquoi ? Parce qu’après un voyage en 2019, Aélie est revenue avec une envie forte de fonder sa propre marque, celle qui lui ressemble et avec laquelle elle peut laisser libre court à son imagination. Créer des pièces fortes, celles qu’on remarque et qui font toute la tenue. Des pièces uniques qu’on porte avec panache, à l’inverse de celles qu’on peut habituellement trouver chez les marques éco-responsables françaises.
Comment ?
Andore, comment ? En fil 100% recyclé au toucher cachemire, avec la norme GRS et fabriqués uniquement par une des meilleures filatures d’Italie. Toutes les fibres qui composent le fil servant à fabriquer les pièces Andore sont entièrement recyclées en respectant les exigences de l’éco-durabilité. Un pull Andore c’est – 60% d’électricité, – 60% d’eau, – 30% de produits chimiques et – 75% de C02 par rapport à la fabrication d’un pull conventionnel. C’est aussi une fabrication en quantités très limitées, dans une usine familiale italienne et connaisseuse de la fabrication de la maille.
Qui ?
April Please, qui ? Julia et Émilie. Elles se rencontrent sur les bancs de l’école de publicité, c’est le coup de foudre amical puis professionnel. Elles se décrivent comme déterminée et sensible pour l’une, fragile et détonante pour l’autre. Un duo qui se complète à la perfection !
Pourquoi ?
April Please, pourquoi ? Parce qu’elles sont toutes les deux nées au mois d’avril et que l’idée de la marque est venue par hasard lors d’un voyage à Los Angeles en demandant l’addition au serveur : « the bill, please ! ». Et parce qu’elles sont fans de bijoux. Frustrées de ne pas trouver les boucles d’oreilles de leurs rêves dans les boutiques, elles décident de créer leur propre marque.
Comment ?
April Please, comment ? Des prototypes réalisés entre Paris et Avignon, puis des créations réalisées à 100% dans un atelier de région parisienne (aucune pièce n’est achetée toute faite). L’or utilisé est acheté en Suisse et certifié FairTrade. La base de chaque bijou est en laiton plaqué or 18 carats, 3 microns, résistant à l’eau. Les engagements d’April Please ne s’arrêtent pas là, entre autres la marque cherche à favoriser la proximité (fournisseurs français et européens) mais également l’utilisation d’emballages éco-responsables avec des écrins de bijoux labellisés FSC et FSC Mixt.
Qui ?
Atir, qui ? Un studio de design textile de Barcelone, composé de designers textiles et d’ingénieurs. Au départ, c’est la création d’un studio en 2017 qui créé et développe et vend des textiles et tissus innovants et respectueux de l’environnement. C’est avec l’envie d’aller plus loin que le studio créé la marque ATIR en 2021.
Pourquoi ?
Atir, pourquoi ? Parce que ATIR, c’est RITA à l’envers, qui est un emblème d’une petite ville de Catalogne où ils ont grandi. C’est le souvenir de l’enfance et de nouvelles expériences, de l’odeur du temps libre et des bains d’été. C’est finalement la magie et beaucoup de rêves devenus réalité.
Après plusieurs années à concevoir des textiles pour les autres, le studio a eu envie d’unir savoir-faire et créativité pour imaginer et concevoir des collections qui leur ressemblent et respectent leurs valeurs . L’objectif est de proposer une garde-robe composée de basiques intemporels mais toujours au goût du jour et surtout avec des tissus durables et de haute qualité.
Comment ?
Atir, comment ? En favorisant l’économie locale, la proximité et la limitation du transport. Chaque pièce est produite dans un atelier situé à moins de 10 kilomètres des bureaux du studio, dans la ville de Sabadell. Également, l’ensemble des produits qui constituent une pièce ATIR (fermeture à glissière, boutons, ..) sont fabriqués en Espagne et plus précisément dans des villes proches de Barcelone comme Rubí ou Montcada. Les tissus sont pour la grande majorité labelisées Global Recycled Standard (GRS) ou GOTS et le coton biologique est également utilisé.
Qui ?
Balèse, qui ? Clémence, passionnée de mode, surtout rétro et plus spécifiquement celle des seventies. Le « patte d’eph’ », les couleurs pop, les imprimés fleuris ou encore les jupes fendues n’ont aucun secret pour elle.
Pourquoi ?
Balèse, pourquoi ? Parce qu’il est “time to be Balèse” ! Les femmes ont toujours été en première ligne pour faire avancer les mœurs et le vêtement a toujours été un moyen d’expression pacifique, universel et l’allié de la libération des corps. Avec Balèse, Clémence veut perpétuer cette tradition, aider les femmes à se sentir « Balèse » en montrant qui elles sont vraiment.
Comment ?
Balèse, comment ? Des tissus labellisés (ex : viscose EcoVero), biologiques (coton) et/ou upcyclés (soie), et une fabrication française ou portugaise. Des pièces en quantités très limitées et numérotées. Ici pas un nombre prédéterminé de collections par an, une pièce Balèse c’est une fabrication au gré des envies de la créatrice et non pas des saisons.
Qui ?
Billi London, qui ? Sophie et Marie, deux amies françaises et expatriées à Londres, soucieuses de l’impact environnemental de leurs vêtements.
Pourquoi ?
Billi London, pourquoi ? Comme beaucoup de femmes, elles sont de grandes consommatrices de collants. Elles se sont rendues compte qu’à ce jour, aucun collant n’était éco-responsable et que leur temps de dégradation était énorme. Elles ont donc voulu y remédier et ont créé Billi London.
Comment ?
Billi London, comment ? En élasthanne (ROICA™ V550) et nylon biodégradable (Amni Soul Eco®), matières toutes deux labellisées et garantissant une biodégradation totale du collant en décharge en 5 ans contre plus de 100 ans pour un collant conventionnel. Billi London c’est aussi un grand nombre de certifications et labels tels que OEKO-TEX® Standard 100, OEKO-TEX® Detox to Zero ou encore Global Recycled Standard. Enfin, en garantissant une totale transparence sur la tracabilité des produits avec l’utilisation de l’Open Apparel Registry (OAR).
Qui ?
Botzaris, qui ? Claire, qui après une première vie dans la photographie a eu envie d’écrire une nouvelle histoire autour de sa deuxième passion, le vêtement, et en particulier cette pièce qu’elle affectionne tant, le body.
Pourquoi ?
Botzaris, pourquoi ? Parce que le body est la pièce qui l’accompagne depuis l’enfance avec le souvenir des bodys vintages que portait sa mère. C’est pour Claire l’incarnation de la féminité, de toutes les féminités.
Comment ?
Botzaris, comment ? Une fabrication européenne, dans un atelier familial situé en Pologne dans la province de Cujavie-Poméranie. Des matières européennes également, sourcées en France, Italie, Belgique et Portugal. Enfin, et avec une volonté de tendre vers le 100%, c’est aujourd’hui l’utilisation de 80% de matières éco-responsables pour la réalisation des bodys (ex : viscose LivaEco, fibres recyclés, …)
Qui ?
Garce, qui ? Inès, une jeune passionnée de la vie qui, pendant le confinement, a imaginé un dressing confortable et sexy. Une ligne de vêtements dans un tissu d’une douceur et légèreté extrême qui deviendrait le « basicwear » indispensable. Inès c’est une Garce maligne qui fait rimer confort avec féminité, et engagée.
Pourquoi ?
Garce, pourquoi ? Parce qu’un confinement trop long + des leggings inconfortables = l’envie d’allier confort et féminité. Le rêve d’une matière seconde peau pour la femme réelle, celle qui a des humeurs, qui vit à 200 à l’heure, qui aime consommer (responsable), qui dépense (elle le mérite), qui s’aime et se respecte (elle vivrait nue plutôt qu’inconfortable).
Et parce que « garce » était au départ un joli mot devenu péjoratif au XIIème siècle, qu’il est l’anagramme du mot « grâce », qu’il suscite l’intérêt ou encore parce que c’est simplement le féminin de « gars ».
Comment ?
Garce, comment ? En circuit court, des pièces imaginées et réalisées exclusivement à Paris avec l’utilisation d’une seule matière : le modal (ou micromodal) de chez Lenzing™ . Ce tissu c’est la garantie d’un effet seconde peau, d’une caresse ou d’un nuage, bref d’un vêtement qu’on veut enfiler et surtout ne plus quitter. La combinaison du sexy et du confort on vous dit ! Tout simplement.
Qui ?
Maison Carrillo, qui ? Eva et Adrien d’abord, Faustine ensuite. Eva est diplômée d’un master en management de la mode et a toujours eu envie de créer sa propre marque. Adrien est ingénieur spatial et fonceur, il la suit dans cette aventure. Quelques temps après, c’est Faustine qui, issue du monde du marketing de luxe et portée par l’envie d’entreprendre, rejoint l’équipe.
Pourquoi ?
Maison Carrillo, pourquoi ? Parce que Carrillo est le nom de famille d’Eva, tout simplement ! Le souhait derrière la marque est de changer les choses, même à leur « petite » échelle. Proposer moins, mais mieux. C’est l’envie de créer une mode plus durable et responsable, de proposer un vestiaire masculin sans compromis, porteur de sens et de valeurs.
Comment ?
Maison Carrillo, comment ? Toute la confection est 100% française ! Du tissu au vêtement en passant par les étiquettes ou les boutons, les pièces sont imaginées à Toulouse et fabriquées à Montauban. Le coton est biologique, certifié GOTS et les teintures sont OEKO-TEX. Enfin, chaque pièce est fabriquée en quantité limitée, numérotée à la main et possède sa propre carte d’identité. Ainsi, le client peut retracer en toute transparence les différentes étapes de la confection, de la culture du coton à la réalisation de l’étiquette (en satin recyclé évidemment).
Qui ?
Maison Ruse, qui ? Camille, une femme indépendante, intrépide, qui n’a pas peur de sauter dans le grand bain. C’est après une expérience de vie à l’étranger et avec une forte envie d’indépendance et de s’affranchir des codes qu’elle décide de fonder Maison Ruse, alors même qu’elle n’a pas d’expérience dans le monde de la mode. Elle est fonceuse aussi, on vous l’a dit ?
Pourquoi ?
Maison Ruse, pourquoi ? Pour rendre hommage aux Femmes en mettant en lumière les ruses dont elles doivent faire preuve chaque jour pour faire leur place dans la société. Maison Ruse c’est un état d’esprit : porter des sacs en édition très limitée et qui défendent des valeurs. Porter un sac Maison Ruse c’est être unique, powerfull et rare, c’est faire partie du gang des #Rusebabes.
Comment ?
Maison Ruse, comment ? Une confection italienne dans une atelier familial et artisanal, deux collections par an et des quantités très limitées. Ajoutez à cela des cuirs issus de stocks dormants (matière déjà existante), des tannages végétaux ou sans chrome et une majorité de produits fabriqués avec du cuir labellisé « Leather Working Group » (LWG).
Qui ?
Nagev, qui ? Ludivine Jean-Jacques et Samir, trois amis issus de l’univers de la mode qui souhaitent faire évoluer les mentalités. Samir et Jean-Jacques vivent en France où ils dessinent les pièces et Ludivine vit au Cambodge où se situe l’usine de confection qu’elle connait très bien.
Pourquoi ?
Nagev, pourquoi ? Parce que Nagev c’est « végan » à l’envers ! Cela peut sembler évident, mais il est important de rappeler que leurs jeans le sont. C’est l’envie commune d’une mode à la fois engagée et accessible au plus grand nombre. Remettre le denim, ce basique intemporel et pourtant une des pièces de mode les plus polluantes, au cœur d’une fabrication plus respectueuse de l’environnement.
Comment ?
Nagev, comment ? En coton biologique et réalisés avec des procédés de fabrication innovants issus de l’entreprise espagnole Jeanologica. C’est notamment un délavage au laser et un lavage à l’ozone, ces deux procédés réduisent de 95% la consommation d’eau et d’énergie par rapport à des procédés classiques et sans utilisation de produits toxiques. C’est enfin une seule usine de fabrication au Cambodge, connue et régulièrement visitée par la co-fondatrice et un transport jusqu’en France par bateaux afin de limiter le plus possible l’empreinte carbone de la marque.